TRISKAA - Espace pro - duo rock 69 
TRISKAA - duo rock



ESPACE PRO

DISCOGRAPHIE

TRISKAA - Capharnaüm - 2016

Triskaa - Capharnaüm 2016

01. Come back
02. Passer les villes
03. Down
04. Capharnaüm
05. June June
06. The truth
07. C'est pour ta m...

Ecoute: Soundcloud


TRISKAA - Triskaa - 2010

Les Triskaa - 1er album 2010

01. L'échappée belle
02. Super naturelle
03. Léon
04. C'est pas très compliqué
05. Sur les côtes Bretonnes
06. Autour du feu
07. Trafiquant de mélodie
08. T'es pas un ange
09. Les souliers
10. Drôle de voyage
11. Rends moi folle
12. Inspiration
13. La valse de Chine
14. Your garden
15. Verts paradis

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BIOGRAPHIE

TRISKAA

Un duo rageur, un rock énergique et exalté, une voix renversante.
Les deux membres du tandem rock Lyonnais TRISKAA se sont rencontrés sur scène et ont immédiatement ressenti l'appel violent et viscéral de composer ensemble.
JUNE (chant, guitare) et FA (guitare, stompbox, sampler, chant) se partagent une scène habitée et une énergie communicative.
Après un premier album éponyme auto-produit en 2010 (15 titres) dont il signe les textes et la musique, le groupe TRISKAA est de retour avec un rock mélodique personnel, envoûtant et puissant aux accents électriques.

Les textes, savoureux mélange de français et d'anglais, parlent des affres de la vie, des doutes, mais aussi de l'espoir et de la lumière qui jaillit de nos prises de conscience, et de nos introspections.

«Rentre en toi-même, parle à ton coeur et demande lui ce qu'il sait» W.Shakespeare. Tout est dit.

TRISKAA - non, ne cherchez aucunes significations ni liens avec le Triskell ou autres - nous embarque on the way, au-delà de nos lignes de flottaisons intimes, alors le jeu peut commencer pour qui veut bien se laisser embarquer.

Influencé aussi bien par des artistes comme The kills, The Legendary Tiger Man, où encore David Bowie, Catherine Ringer et Nina Hagen, le duo développe sur scène des climats tantôt oniriques et envoûtants, tantôt sombres où lumineux, avec une liberté vocale et une énergie musicale surprenante.

Rien n'arrête le libre esprit créateur de ces deux là.

Les TRISKAA nous projettent hors de nos têtes pour nous faire lâcher prise...
Ils donnent la musique comme elle vient, libre, brute, fragile, vibrante.

Formule de scène:
Duo (voix, guitares, prog, stomp-box)

Distribution:
JUNE (chant, guitare)
FA (chant, guitares, sampler, stomp-box)

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PRESSE

Chronique de l'album Triskaa - auteur: Michel KEMPER

Webzine "Thou Chant"

Triskaa - TRISKAA (15 titres, 63’48) Audiolune
C’est un duo, mais dont elle seule pousse la voix ; lui gratte les cordes mais pas que : clarinette, clavier, percus et basse, il fait tout, même parfois les chœurs. Lui, c’est Fabrice Ferro, qu’on a connu jadis dans l’aventure Da Capo Zirkus. Elle, Patricia Moreira, voix assez féerique, aérienne.
Dans ce premier opus, tout est déjà en place, tout. Tant qu’on se demande pourquoi Triskaa n’envahit pas les ondes tant l’intelligence, la sensibilité, la sensualité les y appellent. Les programmateurs ne doivent pas écouter les disques…
Une voix enjôleuse, envoûtante, légère, presque aérienne. Et fiévreuse, modulée à l’envi, qui oscille entre bohème et quelque chose qui n'est pas faire songer à la chanteuse Charlotte Marin. Un coup de foudre arrive pour moins que ça… Il y a tout ici d’un romantisme populaire nimbé d’un solide bagage musical, du luxe d’un duo magnifique (des lyonnais encore…) qui, dès sa naissance, fait brio.
C’est un disque qu’on laisse à portée de main, à portée d’un lecteur cd, persuadé qu’il y a toujours, même après nombre d’écoutes, toujours quelque chose à découvrir. Il y a manifestement de la magie dedans !
Michel Kemper

Chronique de l'album Triskaa - auteur: J.P Gavard Perret

Webzine "les immortels"

Triskaa – TRISKAA (Audiolune)
Les Triskaa n’ont pas à en faire des tonnes. Ils n’ont pas plus besoin de passer forcément par l’anglais pour leurs échappées belles. En 15 titres bien écrits et bien montés, le charme du couple opère à fond depuis la presqu’île entre Saône et Rhône. La voix sensuelle et modulée de Patricia Moreira n’y est pas pour rien. Elle passe du grave à l’aigu dans la fièvre et la force corrosive (”Rends moi folle”) ou dans la douceur tiède (dans “Autour du feu” ou “Drôle de voyage”) . Pour le reste, Fabrice Ferro assure : à la guitare comme à la clarinette, aux percussions comme aux claviers, à la basse comme à la programmation numérique.
Frissons, errances, ballades, mini symphonies pop, tout est bon dans ce bouchon lyonnais où l’humour crapule n’est pas absent. Le détournement d’un romantisme monnaie courante dans la chansonnette savonnette opère à fond chez ces dignes successeurs des Rita Mitsouko version postmoderne. Avec “Léon” ou “Les souliers” par exemple. La chanteuse y offre cet aveu que toutes les femmes peuvent apprécier et que certains hommes doivent accepter :
"Depuis qu’ma ligne est coupée, les gros lourds et les ringues, j’ai plus besoin d’filtrer."
Dès 2008 – date de la constitution du duo – les Triskaa ont peaufiné leur album éponyme avec autant de légèreté et de fantaisie que de rigueur. La qualité des arrangements donne toute la dimension à une dérive existentielle vue par le prisme d’une sensibilité féminine aussi lucide qu’allumée. Sachant décliner le sérieux comme le dérisoire, Patricia Moreira signe 11 des titres. Fabrice Ferro commente de son côté dans les quatre autres les émois de son égérie pour en souligner par touches sonores les différents moments. Le tout dans une force de liesse ou d’abandon qui prend soin de ne pas déborder ou de se saborder lorsque l’amour déçu voudrait déglinguer les lignes mélodiques.
Voyager dans l’album revient à partir à la recherche d’une musique qui donne sens à la vie dans sa simplicité comme à sa profondeur, à la drôlerie comme à la dure réalité sans toucher à la vérité. Une telle aventure ne peut sans doute se vivre ailleurs que dans le cadre d’un duo en totale symbiose. Pour l’instant, il se rêve dans les méandres de sa french Pop et dans l’émotion émulsive de l’éphémère coloré de fièvre plus que de désillusion.
Le C.D. est donc une sorte d’autoportrait et de confession amoureuse. Aux soupirs, aux sourires et aux acidités de la chanteuse répondent les prouesses et les facéties d’un musicien prince charmant et « lutin de ses aurores ». Refusant les vieilles solutions, le duo crée des morceaux légers ou denses, nets ou brouillés. Y fusionnent les styles comme s’y infusent le concret et le rêve. Sans abuser de décibels, un tel CD plutôt que modeler module. On y pénètre avec délice. Noyau et pulpe. Essence et substance. Les Triskaa impressionnent (à tous les sens du terme). Et on attend déjà la suite. Longue vie.
JPGP

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